Cette citation du romancier Québécois Roch Carrier pourrait parfaitement résumer Syka James. Son voyage commence vers la fin du XXème siècle dans une famille pluriculturelle, passionnée de musique et de sport. Car bien avant de dégainer mélodies et refrains c’est par le tennis qu‘elle s’exprimera ; elle en gardera d’ailleurs son nom de scène Syka James, référence à Jesse James – surnom que son entraineur lui donnait sur le court. Son parcours sportif ne l’a pas éloigné pour autant de sa passion pour l’écriture et la musique. Le bac en poche, et un parcours en IUT (GEA), les études de Lettres Modernes deviennent une évidence et une révélation. Syka James devient cette même année membre Sacem et se produit dans des festivals renommés tel que les Nuits du Sud, le Mas des Escaravatiers, les Nuits carrées ou encore Pause Guitare. Elle se révèle lors des premières parties de GiédRé, Pauline Croze, Piers Faccini, Feu ! Chatterton… et bénéficie dans la foulée du prix Sacem d’aide à l’Autoproduction pour son premier Ep REFLET.